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Nos prises de positions

 

La détérioration des prestations sociales conduisent de plus en plus les genevois, abandonnés par les autorités du canton de Genève, à conserver leurs papiers à Genève tout en vivant illégalement de l’autre côté de la frontière.

 

Pour GSF, il n’y a pas de citoyens genevois de première catégorie qui vivraient sur le territoire genevois, et des citoyens de seconde catégorie qui vivraient sur le territoire français.

 

Traquer ces résidents comme des sans-papiers ne servira malheureusement qu’à augmenter

les tensions entre nos communautés.

Votations du 18 mai 2014

Loi de subvention des P+R en zones franche :   votez  OUI

La loi ouvrant un crédit au titre de subvention d'investissement de 3 129 406 F pour participer au financement de la construction de 5 parcs relais (P+R) d'intérêt transfrontalier vise la création de 830 places de parc destinées aux pendulaires. Ce crédit couvre 46.7% de l'investissement, le reste étant à la charge des collectivités françaises, qui assumeront également les coOls d'entretien et de fonctionnement.

 

Ces P+R situés en France à proximité de la frontière seront reliés aux réseaux de transports publics transfrontaliers et visent à réduire le trafic routier pendulaire dans le canton. Ces P+R seront créés dès 2015 à: Veigy (route de Thonon),Annemasse Agglo (Chasseurs et Jean Monnet), Saint-Julien-en-Genevois (gare),Valleiry (gare).

 

Chaque jour, 110'000 personnes viennent à Genève pour y travailler. Elles résident principalement dans le canton de Vaud et en France voisine. Parmi les pendulaires résidant en France, environ 1/5° est de nationalité suisse. L'un des objectifs majeurs de la politique d'agglomération de notre canton, soutenue par la Confédération, est de permettre à ce trafic pendulaire d'utiliser les transports publics plutôt que la route. C'est dans ce contexte que la politique d'agglomération permet la construction des lignes de tram jusqu'à Meyrin et au CERN (TCMC) et Bernex (TCOB) et celle du CEVA, avec un financement assuré à 40% par la Confédération.

 

Le choix de construire ces P+R sur territoire français présente un avantage considérable en matière de coût: le prix moyen de ces places sera de quelque 8000 francs, dont moins de 3'800 francs à la charge du canton de Genève. A titre de comparaison, les prix des P+R sur territoire genevois oscillent de 5000 à 10'000 francs la place pour la construction en surface (Bernex, Tuileries), et 40'000 à 60'000 francs pour des constructions en souterrain (Sécheron, Genève Plage). Le coût global prévu de la construction des 5 parkings est de 6'708'740 francs, dont seulement3'129'406 francs (46.7%) à la charge du canton de Genève.

 

Les parkings sont des constructions gourmandes en surfaces foncières. Dans le canton de Genève, ces surfaces étant particulièrement rares, il faudrait pour construire des parkings déclasser de la zone agricole ou renoncer à construire des logements ou des surfaces commerciales au profit de parkings. La construction de ces P+R sur territoire français s'avère donc pertinente du point de vue de l'aménagement du territoire.

A venir :  Initiative populaire fédérale "Halte à la surpopulation - oui à la préservation durable des ressources naturelles"

Votation du 9 février 2014

Initiative de l’UDC contre l’immigration de masse.

                          Votez NON

GSF à pris acte de la décision des Suisses concernant l’initiative de l’UDC contre l’immigration de masse. GSF continuera à se battre pour que Genève et la Suisse restent ouvertes sur l’Europe et le monde, malgré ce signal négatif. Les dangers liés à l’application de l’initiative pour notre économie et nos emplois sont importants. Le PDC Genève et GSF enjoingnent donc le Conseil fédéral à proposer des contingents reflétant réellement les besoins de notre économie, ainsi qu’à mettre en place un système peu bureaucratique pour que nos entreprises puissent continuer à engager des étrangers qualifiés. GSF est engagé au coté du PDC Genève à travailler sur le marché de l’emploi local en proposant des améliorations du système de formation (meilleure concordance entre formations et marché de l’emploi), ainsi qu’en soutenant le dialogue social partout où cela est possible.

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